mardi 29 octobre 2019

Le secret des Miracles (Tiré d'un songe du 28 Octobre 2019)



1.   LE SECRET DES MIRACLES / LA CHAMBRE ETROITE

Les miracles sont des  faits qui produisent de l’étonnement chez ceux qui les observent. Le miracle est une chose au dessus de lois humaines ou naturelles. Le miracle est ce qui permet à un faible de triompher d’un plus fort que lui, c’est ce qui dépasse la force et la capacité de l’homme. C’est la fronde de David face à l’épée de Goliath.
Pour qu’il existe un miracle, il faut qu’il existe au moins trois choses : un problème, un croyant, un Dieu.
Le schéma du miracle étant le suivant : (1) Le croyant fait face à un problème (2) Le croyant amène le problème dans la présence de Dieu par le moyen de la prière (3) Dieu opère le miracle.
Le matin du 28 Octobre 2019, le Seigneur m’a fait comprendre dans un songe que si j’étudiais tous les miracles, je verrais qu’ils obéissent toujours à certains critères dont le premier qui m’a été donné est « la présence de Dieu ». Il ne peut y avoir de miracles qui viennent de Dieu sans la présence de Dieu. Les hommes des miracles sont d’abord des hommes de LA PRESENCE DE DIEU. Ce sont des personnes qui passent des heures et des heures voir des jours et des jours dans la présence de Dieu. Les hommes de miracles sont des hommes de prières, car les hommes de prières sont des hommes de la présence de Dieu. Dans ce songe, je voyais la personne qui m’expliquait le secret des miracles dans une chambre étroite.
Bien-aimés, je vous dit un mystère, peut-être avez-vous déjà entendu parler de la porte étroite, du chemin étroit qui mènent à la vie éternelle. Je vais vous parler d’un autre chemin,  ce chemin s’appelle la « chambre étroite », il s’agit de la chambre de prière. C’est le sentier des miracles, c’est la chambre des victoires, c’est le lieu ou le Seigneur met en fuite tes ennemis, te guérit de tes maladies, de sauve de la gueule du lion, t’arraches des grilles de l’aigle, te préserve du venin du serpent, te donne le feu qui consume tout mal, fait briller ta face et répand sa gloire dans ta vie.
Bien-aimés, le miracle est une intervention divine pour un homme en difficulté, pour une femme dans le désespoir, pour un enfant dans l’angoisse, c’est pour celle qui est atteinte d’une perte de sang, pour celui qui n’a personne pour le jeter dans la piscine, pour l’opprimé qui a perdu espoir.
Le Miracle est la solution de Dieu pour l’homme qui est entre la vie et la mort ; il ne peut se produire que si le mourant est placé dans la présence du Dieu qui ressuscite les morts. Ta situation est-elle morte ?  Dieu ressuscite les morts. L’apôtre Paul avait tellement été ressuscité par Dieu, dans les calamités, dans les détresses, dans les périls, dans les naufrages, dans les lapidations, dans les morsures de serpents que sa foi en Dieu était devenue presqu’inébranlable. Il le savait, il l’avait proclamé : QUAND JE SUIS FAIBLE, C’EST ALORS QUE JE SUIS FORT.
Bien-aimés, si vous avez compris le miracle, vous avez compris qu’il n’existe pas de problèmes pour un enfant de Dieu qui marche dans la vérité. Un problème est une opportunité de vivre un miracle, deux problèmes sont deux opportunités d’expérimenter deux miracles, de nombreux problèmes sont de nombreux miracles que Dieu te donne. Mais tu ne peux transformer ton problème en miracle que si tu marches dans la présence de Dieu, si tu connais LA CHAMBRE ETROITE.
LA CHAMBRE ETROITE  est aussi étroite que la porte de cette chambre qui est Jésus lui-même, peu de personnes y entrent. LA CHAMBRE ETROITE est aussi resserrée que le chemin étroit qui mène à la vie éternelle, peu de gens la trouvent. Efforcez-vous donc d’entrer dans cette chambre, c’est la chambre de l’intimité avec Dieu. Ceux qui y entrent et qui y demeurent sont sous l’abri du très haut et reposent à l’ombre du Tout-Puissant. Cependant, pour entrer dans la chambre étroite des miracles, tu dois renoncer à la chair et ses désirs, aux excès de table et aux péchés. Tu dois enfin te revêtir des habits d’humilité, de  sainteté  et de la persévérance. Car c’est dans cette chambre étroite qu’on apprend à crier à Dieu encore et encore, souvent dans l’angoisse, quelques fois dans l’agonie, plongé dans sa propre sueur et disant : « PERE ELOIGNE DE MOI CETTE COUPE… ». Eloignes de Moi cette tumeur, Eloigne de Moi ce péché, Eloigne de Moi ces liens, Eloigne de Moi ces oppresseurs, Eloigne de Moi cette souffrance, Eloigne de Moi Seigneur, Eloigne de Moi Mon Dieu !

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